Confrontés aux dysfonctionnements de l’enquête qui leur vaut d’être jugés en correctionnelle pour «complicité de trafic de stupéfiants», l’ex-numéro 3 de l’Office des stups, Stéphane Lapeyre, et son ancien subordonné, Jocelyn Berret, ont concédé des erreurs et esquissé un début de mea culpa.
par Emmanuel Fansten
publié le 6 novembre 2023 à 18h06
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Stéphane Lapeyre et son ancien subordonné Jocelyn Berret (à droite), au tribunal judiciaire de Paris, le 30 octobre. (Albert Facelly/Libération)